L’ancien président américain Donald Trump a récemment établi un parallèle controversé entre les frappes américaines visant l’Iran et les bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagasaki survenus en 1945. Cette déclaration, qui intervient dans un climat géopolitique tendu, a suscité de vives réactions aux États-Unis comme à l’international.
Intervenant dans un contexte de campagne électorale et de tensions persistantes avec Téhéran, Trump a affirmé que la puissance de frappe américaine actuelle pourrait avoir des effets comparables à ceux des bombes larguées sur les deux villes japonaises à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Une comparaison qui semble viser à souligner la force dissuasive des États-Unis, mais qui soulève des questions éthiques et stratégiques.
Ces propos interviennent alors que les relations entre Washington et Téhéran restent marquées par les sanctions, les tensions militaires dans le Golfe, et la remise en cause de l’accord sur le nucléaire iranien. Les autorités iraniennes n’ont pas encore officiellement réagi à ces déclarations.
Cette sortie de Donald Trump relance le débat sur le recours à la force et la rhétorique de la dissuasion nucléaire dans la diplomatie américaine.
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diasporaction.fr
