EN UN MOT: Un mal pour un bien

Dans cette perspective, la pression change de camp et nous donne l’occasion de prouver une fois que la récurrence des  rebellions touarègues est l’œuvre de bandits armés qui ont toujours vécu de leur irrédentisme.

Face à l’impossible indépendance ou autonomie des régions du Nord, ils  devront trouver de nouveaux arguments pour expliquer leur refus d’entrer dans les rangs qui devait avoir lieu depuis plusieurs mois à travers leur cantonnement et leur désarmement dont la non-effectivité aujourd’hui est avant tout la faute de la France et de l’ONU.

Donc, si on joue bien le coup, les futures négociations risquent de mettre définitivement fin au jeu du chat et de la souris à laquelle on assiste depuis plusieurs mois entre le Mali, l’Algérie, les bandits armés, les terroristes, la France et l’ONU.

DAK
L’ Indicateur du Renouveau 2014-05-28 03:40:39