L’UE au bord de l’éclatement, ou l’effet domino d’un Brexit

Les gouvernements pro-européens sont d’ores et déjà critiqués par les eurosceptiques. Le Royaume-Uni n’est pas le seul pays où les autorités devront pacifier l’électorat en colère en lui promettant un « meilleur marché » avec Bruxelles.
Personne ne saura anticiper les développements qui suivront la désintégration de l’UE. Plusieurs prévisions s’imposent cependant.

Certaines compétences de l’UE pourraient être assumées par d’autres organisations internationales, notamment par l’OMC.

La normalisation des relations, à la suite de la dislocation de l’UE, pourra demander des mesures diplomatiques de taille, comparables à celles prises à San Francisco à l’époque de la fondation de l’Onu, ou à Bretton Woods, où ont été posés les fondements du système financier moderne.
Malgré tout ce qui a été dit, les auteurs de l’article ne sombrent pas pour autant dans le noir, et leurs conclusions sont plutôt optimistes:
« Il n’y a aucune raison de croire que le déclin de l’UE signifie obligatoirement celui de l’Europe. Qui sait, peut-être est-ce tout le contraire ».

Les gouvernements pro-européens sont d’ores et déjà critiqués par les eurosceptiques. Le Royaume-Uni n’est pas le seul pays où les autorités devront pacifier l’électorat en colère en lui promettant un « meilleur marché » avec Bruxelles.
Personne ne saura anticiper les développements qui suivront la désintégration de l’UE. Plusieurs prévisions s’imposent cependant.
Certaines compétences de l’UE pourraient être assumées par d’autres organisations internationales, notamment par l’OMC.
La normalisation des relations, à la suite de la dislocation de l’UE, pourra demander des mesures diplomatiques de taille, comparables à celles prises à San Francisco à l’époque de la fondation de l’Onu, ou à Bretton Woods, où ont été posés les fondements du système financier moderne.

Malgré tout ce qui a été dit, les auteurs de l’article ne sombrent pas pour autant dans le noir, et leurs conclusions sont plutôt optimistes:
« Il n’y a aucune raison de croire que le déclin de l’UE signifie obligatoirement celui de l’Europe. Qui sait, peut-être est-ce tout le contraire ».

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